Je suis née en 1970 au Québec, au Canada. Ayant grandi dans une famille de classe moyenne, j’ai toujours été attiré par l’art. Ma fascination pour les images, la peinture et la musique s’est acquise dès les premières années de ma scolarité. Une personne a été et est toujours une grande partie de ce que je suis devenue ; Anna. La grand-mère maternelle était une figure d’amour et d’autorité sans limite. Elle a vécu avec la famille jusqu’à mon adolescence. Lorsqu’elle est morte, elle a laissé un grand vide dans ma vie.
Après avoir étudié les beaux-arts à Montréal et à New York, j’ai passé de très bonnes années à exposer et à vendre dans de nombreux pays. Pour résumer, j’ai laissé mon art parler de lui-même. Mes principales influences proviennent principalement des maîtres de l’American Art Student League ; Rothko, De Kooning et d’autres. J’aime également les mouvements européens et j’ai été influencé par Kandinsky, Klein, Malevitch, Hundertwasser et les grands maîtres néerlandais. J’ai également commencé à étudier cette année pour obtenir un diplôme en histoire de l’art à Oxford.

Je suis née en 1970 au Québec, au Canada. Ayant grandi dans une famille de classe moyenne, j’ai toujours été attiré par l’art. Ma fascination pour les images, la peinture et la musique s’est acquise dès les premières années de ma scolarité. Une personne a été et est toujours une grande partie de ce que je suis devenue ; Anna. La grand-mère maternelle était une figure d’amour et d’autorité sans limite. Elle a vécu avec la famille jusqu’à mon adolescence. Lorsqu’elle est morte, elle a laissé un grand vide dans ma vie.
Après avoir étudié les beaux-arts à Montréal et à New York, j’ai passé de très bonnes années à exposer et à vendre dans de nombreux pays. Pour résumer, j’ai laissé mon art parler de lui-même. Mes principales influences proviennent principalement des maîtres de l’American Art Student League ; Rothko, De Kooning et d’autres. J’aime également les mouvements européens et j’ai été influencé par Kandinsky, Klein, Malevitch, Hundertwasser et les grands maîtres néerlandais. J’ai également commencé à étudier cette année pour obtenir un diplôme en histoire de l’art à Oxford.

En tant qu’artiste, j’ai toujours admiré le côté secret de l’existence. Les luttes et les combats intérieurs. L’expression est un moyen de vaincre nos démons. Ma créativité et mon expression proviennent de la résilience dont j’ai fait preuve dans la vie. Montrer des émotions brutes sur une toile pour affronter ce qui me hante, c’est comme exposer mon âme entière à ceux qui veulent la voir. Je laisse mon art parler. Pour certains, il parle de violence. Pour d’autres, il s’agit d’impulsions. Pour moi, il s’agit de mes expériences, des combats contre la mort elle-même à deux reprises au cours des trois dernières années. Oui, je suis mort deux fois ces deux dernières années. Cela m’a donné de la rage et de la colère, mais cela a aussi soulevé des questions sur mon propre chemin. J’essaie de poser des questions au spectateur, j’essaie de pénétrer son esprit et son âme et de décharger mes émotions dans sa psyché. Mon travail doit susciter des idées, des sentiments. Je veux que le public se confronte à mon travail et qu’un dialogue s’instaure en son sein. Est-ce le reflet de mon âme que je regarde ? Un voyage en territoire inexploré, un voyage de votre âme à travers l’expression de ma douleur, de mon désespoir. Sommes-nous semblables ?

En tant qu’artiste, j’ai toujours admiré le côté secret de l’existence. Les luttes et les combats intérieurs. L’expression est un moyen de vaincre nos démons. Ma créativité et mon expression proviennent de la résilience dont j’ai fait preuve dans la vie. Montrer des émotions brutes sur une toile pour affronter ce qui me hante, c’est comme exposer mon âme entière à ceux qui veulent la voir. Je laisse mon art parler. Pour certains, il parle de violence. Pour d’autres, il s’agit d’impulsions. Pour moi, il s’agit de mes expériences, des combats contre la mort elle-même à deux reprises au cours des trois dernières années. Oui, je suis mort deux fois ces deux dernières années. Cela m’a donné de la rage et de la colère, mais cela a aussi soulevé des questions sur mon propre chemin. J’essaie de poser des questions au spectateur, j’essaie de pénétrer son esprit et son âme et de décharger mes émotions dans sa psyché. Mon travail doit susciter des idées, des sentiments. Je veux que le public se confronte à mon travail et qu’un dialogue s’instaure en son sein. Est-ce le reflet de mon âme que je regarde ? Un voyage en territoire inexploré, un voyage de votre âme à travers l’expression de ma douleur, de mon désespoir. Sommes-nous semblables ?