Originaire de Lachenaie, sur la Rive-Nord de Montréal, Marie-Rose Bellizzi a débuté des cours de peinture à l’huile dès l’âge de 10 ans, pour les poursuivre jusqu’à ses 16 ans. Les nombreuses expositions auxquelles elle a participé pendant cette période lui ont valu plusieurs prix du public ou du jury.

Après son DEC en Arts Plastiques (1996) au cégep Marie-Victorin et un baccalauréat en Arts visuels (1999), elle se passionne pour la sérigraphie, ce qui l’amène à travailler dans ce domaine pendant une dizaine d’années.

En parallèle, elle se passionne pour la photographie, essentiellement de paysage et de botanique, qu’elle pratique encore à ce jour.

En 2008, un changement de profession s’impose. Elle entame alors un second baccalauréat à l’UQAM, en enseignement au primaire. Elle obtient son brevet en 2013 et enseigne depuis ce temps. Bien malgré elle, avec cette nouvelle carrière très exigeante et ses 2 garçons qui ont vu le jour en 2000 et 2010, elle a mis en veille son désir de créer.

Comme le naturel revient toujours au galop, elle réalise en 2019 que son besoin de créer est plus fort que jamais et nécessaire à son équilibre. Elle découvre l’encre à l’alcool et part à la découverte de ce médium de façon intensive, tout en continuant d’enseigner. Cependant, des problèmes respiratoires reliés à l’utilisation de l’encre à l’alcool font leur apparition et font en sorte qu’elle se tourne vers l’acrylique en 2020.

Originaire de Lachenaie, sur la Rive-Nord de Montréal, Marie-Rose Bellizzi a débuté des cours de peinture à l’huile dès l’âge de 10 ans, pour les poursuivre jusqu’à ses 16 ans. Les nombreuses expositions auxquelles elle a participé pendant cette période lui ont valu plusieurs prix du public ou du jury.

Après son DEC en Arts Plastiques (1996) au cégep Marie-Victorin et un baccalauréat en Arts visuels (1999), elle se passionne pour la sérigraphie, ce qui l’amène à travailler dans ce domaine pendant une dizaine d’années.

En parallèle, elle se passionne pour la photographie, essentiellement de paysage et de botanique, qu’elle pratique encore à ce jour.

En 2008, un changement de profession s’impose. Elle entame alors un second baccalauréat à l’UQAM, en enseignement au primaire. Elle obtient son brevet en 2013 et enseigne depuis ce temps. Bien malgré elle, avec cette nouvelle carrière très exigeante et ses 2 garçons qui ont vu le jour en 2000 et 2010, elle a mis en veille son désir de créer.

Comme le naturel revient toujours au galop, elle réalise en 2019 que son besoin de créer est plus fort que jamais et nécessaire à son équilibre. Elle découvre l’encre à l’alcool et part à la découverte de ce médium de façon intensive, tout en continuant d’enseigner. Cependant, des problèmes respiratoires reliés à l’utilisation de l’encre à l’alcool font leur apparition et font en sorte qu’elle se tourne vers l’acrylique en 2020.

2 médiums: 2 démarches!

J’aime le côté fluide, changeant et rempli de surprises de l’encre à l’alcool. Jusqu’à présent, c’est le seul médium qui me permet de peindre de l’abstrait. La liquidité de l’encre comble mon besoin de nouveauté et représente mon côté nerveux. Étant une personne toujours indécise mais très adaptable, j’aime laisser mon médium me guider et prendre des décisions à ma place. Je suis souvent déstabilisée par les surprises que cette fluidité m’offre, tant au niveau des mélanges de couleurs que les directions involontaires qu’elle prend, mais j’adore cela car son instabilité et son côté imprévisible éliminent tout risque de routine.

L’acrylique, quant à elle, m’amène à travailler d’une toute autre façon. Avec un médium beaucoup plus épais et un pinceau ou un marqueur en main, je deviens contrôlante et perfectionniste à l’excès. La qualité de l’exécution est très importante pour moi. Je suis une passionnée de botanique et de couleurs vives alors ce sont ces deux éléments qui guident mon activité créatrice.

Ceci étant dit, peu importe le médium que j’utilise, je cherche toujours à réaliser des oeuvres agréables à regarder de par leur thème ou les couleurs utilisées.

2 médiums: 2 démarches!

J’aime le côté fluide, changeant et rempli de surprises de l’encre à l’alcool. Jusqu’à présent, c’est le seul médium qui me permet de peindre de l’abstrait. La liquidité de l’encre comble mon besoin de nouveauté et représente mon côté nerveux. Étant une personne toujours indécise mais très adaptable, j’aime laisser mon médium me guider et prendre des décisions à ma place. Je suis souvent déstabilisée par les surprises que cette fluidité m’offre, tant au niveau des mélanges de couleurs que les directions involontaires qu’elle prend, mais j’adore cela car son instabilité et son côté imprévisible éliminent tout risque de routine.

L’acrylique, quant à elle, m’amène à travailler d’une toute autre façon. Avec un médium beaucoup plus épais et un pinceau ou un marqueur en main, je deviens contrôlante et perfectionniste à l’excès. La qualité de l’exécution est très importante pour moi. Je suis une passionnée de botanique et de couleurs vives alors ce sont ces deux éléments qui guident mon activité créatrice.

Ceci étant dit, peu importe le médium que j’utilise, je cherche toujours à réaliser des oeuvres agréables à regarder de par leur thème ou les couleurs utilisées.