Artiste de la relève
Formations :
2019 à Aujourd’hui : Maîtrise par cumul en arts visuels
Université du Québec à Trois-Rivières :
•Diplôme d’études supérieures spécialisées en art (1716)
•Programme court de deuxième cycle en esthétique (0425)

2018 : Microprogramme de deuxième cycle en art-thérapie
UQAT-Montréal
2017 : Baccalauréat en arts visuels – arts plastiques et nouveaux médias
Université du Québec à Trois-Rivières

Artiste de la relève
Formations :
2019 à Aujourd’hui : Maîtrise par cumul en arts visuels
Université du Québec à Trois-Rivières :
•Diplôme d’études supérieures spécialisées en art (1716)
•Programme court de deuxième cycle en esthétique (0425)

2018 : Microprogramme de deuxième cycle en art-thérapie
UQAT-Montréal
2017 : Baccalauréat en arts visuels – arts plastiques et nouveaux médias
Université du Québec à Trois-Rivières

La relation entre la mémoire humaine et mémoire matérielle constitue le point tournant de ma démarche artistique. Il s’agit d’un questionnement personnel basé sur le rapport que j’entretiens avec la mémoire de l’individu et celle des matériaux. D’une part, je m’intéresse plus particulièrement à l’usage passé et à la récupération des matériaux. En m’inspirant de la tradition du palimpseste, qui signifie « qu’on gratte pour écrire de nouveau » , l’idée de mémoire participera au procédé pictural, dans lequel je cherche à développer plusieurs techniques de collage. D’un point de vue formel, je privilégie l’usage du papier recyclé, de la peinture, de l’encre, de la colle, de l’eau et des images provenant d’exemplaires du National Geographic. Ces images, se rapportant à la mémoire d’un monde passé m’amènent à concevoir le procédé du palimpseste sous forme d’idées métaphoriques et poétiques évoquant la mémoire d’une réalité considérée à travers les états de conscience des individus, d’une collectivité, d’une société.

La relation entre la mémoire humaine et mémoire matérielle constitue le point tournant de ma démarche artistique. Il s’agit d’un questionnement personnel basé sur le rapport que j’entretiens avec la mémoire de l’individu et celle des matériaux. D’une part, je m’intéresse plus particulièrement à l’usage passé et à la récupération des matériaux. En m’inspirant de la tradition du palimpseste, qui signifie « qu’on gratte pour écrire de nouveau » , l’idée de mémoire participera au procédé pictural, dans lequel je cherche à développer plusieurs techniques de collage. D’un point de vue formel, je privilégie l’usage du papier recyclé, de la peinture, de l’encre, de la colle, de l’eau et des images provenant d’exemplaires du National Geographic. Ces images, se rapportant à la mémoire d’un monde passé m’amènent à concevoir le procédé du palimpseste sous forme d’idées métaphoriques et poétiques évoquant la mémoire d’une réalité considérée à travers les états de conscience des individus, d’une collectivité, d’une société.