Depuis aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours été attirée par le dessin, la peinture et l’art en général. J’ai gradué en arts visuels à l’Université Laval. Depuis, je pratique la peinture, l’estampe et le dessin dans mon atelier de Québec.
Mes oeuvres ont fait partie de nombreuses expositions individuelles et collectives tant au Québec qu’à l’étranger : Cuba, Écosse, France, Irlande, Belgique, Pologne, Allemagne ; elles ont été acquises par de prestigieuses collections publiques et privées. Finaliste pour le prix Videre dans le cadre des Prix d’excellence des arts et de la culture de Québec, j’ai aussi participé à quelques résidences de création en arts visuels dont la dernière au Vermont Studio Center.

Depuis aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours été attirée par le dessin, la peinture et l’art en général. J’ai gradué en arts visuels à l’Université Laval. Depuis, je pratique la peinture, l’estampe et le dessin dans mon atelier de Québec.
Mes oeuvres ont fait partie de nombreuses expositions individuelles et collectives tant au Québec qu’à l’étranger : Cuba, Écosse, France, Irlande, Belgique, Pologne, Allemagne ; elles ont été acquises par de prestigieuses collections publiques et privées. Finaliste pour le prix Videre dans le cadre des Prix d’excellence des arts et de la culture de Québec, j’ai aussi participé à quelques résidences de création en arts visuels dont la dernière au Vermont Studio Center.

Toute vie est imbriquée dans un grand réseau impalpable mais bien réel : la terre et le ciel, les humains et les animaux, le temps, le silence… Je m’inspire de ces divers réseaux pour réfléchir aux liens qui tissent notre vie en société, dans l’intimité ou dans la nature.
Je travaille à partir de photos prises dans la forêt, mais aussi dans les lieux publics. Je m’intéresse aux enchevêtrements de branches, au fouillis de broussailles comme métaphore des liens qui nous relient et qui nous identifient comme société. Je retouche les photos numériques, je les transforme à l’ordinateur et parfois avec le dessin.

Je crée des associations de couleurs par accumulation de lavis, par saturation, par superposition, par juxtaposition… l’ensemble s’anime et stimule le regard. L’utilisation de pochoirs positifs et négatifs qui masquent une partie du tableau ajoute un aspect aléatoire et une note ludique à son élaboration.
J’utilise l’acrylique en fines couches de lavis pour construire ces strates accumulées sur la surface. Se créent alors des jeux d’ombre et de lumière, des effets d’affleurement ou de profondeur, des contrastes de saturation ou de transparence. On peut y percevoir la lumière qui filtre à travers la forêt ou qui se reflète sur l’eau.

La vibration, la tonalité et les harmonies engendrées, dégagent une impression de musicalité dans le tableau. Au final, chaque tonalité interagit avec sa voisine pour créer une sorte de partition visuelle ou la couleur tinte comme une note. Les liens multiples entre les formes et les couleurs représentent une métaphore graphique des liens qui nous unissent et tissent notre société. J’aime à penser que mes œuvres sont aussi une forme de musique pour les yeux...

Je trouve mon inspiration dans la nature si généreuse mais aussi dans le travail de grands artistes comme Klee, Rothko, Riopelle et d’autres coloristes.

Toute vie est imbriquée dans un grand réseau impalpable mais bien réel : la terre et le ciel, les humains et les animaux, le temps, le silence… Je m’inspire de ces divers réseaux pour réfléchir aux liens qui tissent notre vie en société, dans l’intimité ou dans la nature.
Je travaille à partir de photos prises dans la forêt, mais aussi dans les lieux publics. Je m’intéresse aux enchevêtrements de branches, au fouillis de broussailles comme métaphore des liens qui nous relient et qui nous identifient comme société. Je retouche les photos numériques, je les transforme à l’ordinateur et parfois avec le dessin.

Je crée des associations de couleurs par accumulation de lavis, par saturation, par superposition, par juxtaposition… l’ensemble s’anime et stimule le regard. L’utilisation de pochoirs positifs et négatifs qui masquent une partie du tableau ajoute un aspect aléatoire et une note ludique à son élaboration.
J’utilise l’acrylique en fines couches de lavis pour construire ces strates accumulées sur la surface. Se créent alors des jeux d’ombre et de lumière, des effets d’affleurement ou de profondeur, des contrastes de saturation ou de transparence. On peut y percevoir la lumière qui filtre à travers la forêt ou qui se reflète sur l’eau.

La vibration, la tonalité et les harmonies engendrées, dégagent une impression de musicalité dans le tableau. Au final, chaque tonalité interagit avec sa voisine pour créer une sorte de partition visuelle ou la couleur tinte comme une note. Les liens multiples entre les formes et les couleurs représentent une métaphore graphique des liens qui nous unissent et tissent notre société. J’aime à penser que mes œuvres sont aussi une forme de musique pour les yeux...

Je trouve mon inspiration dans la nature si généreuse mais aussi dans le travail de grands artistes comme Klee, Rothko, Riopelle et d’autres coloristes.