Artiste pluridisciplinaire, BENT est né en 1975 dans le sud-ouest de Montréal. Autodidacte, bien qu’il ait fait des cours d’art et communication au secondaire, ses influences sont aussi élargies qu’une palette possédant 1000 couleurs à la fois. De Pollock à Basquiat, en passant par Asger Jorn, Lee Krasner, Georg Baselitz et les protaganistes du Refus Global le peintre qu’il est s’efforce tant bien que mal d’élaborer des réflexions visuelles à partir d’un désir de chambouler la vie. Depuis 2004, il a un peu plus d’une dizaine d’exposition solo à son actif. Il a aussi participer à une dizaine d’expositions collectives. Il a aussi publié 2 recueils de poésie et a entièrement illustré quelques bouquins d’autres artistes.

En 2016 eut lieu la belle finale de Creuser le quotidien à s’en arracher les yeux. Depuis, rien! Ou du moins pas grand chose, à l’exception de quelques apparitions dans les expositions Art + Anarchie Mtl. Le temps, ainsi que d’heureux événements de la vie, tel que la venue d’enfants, ont fait en sorte que la multiplication des apparitions publiques se sont tues au profit d’un murissement de l’imaginaire autant esthétique que théorique. En fait, depuis la publication du texte L’anartiste actuel... Ou l’art du suicide spectaculaire? paru dans l’ouvrage Nous sommes ingouvernables chez Lux Éditeur, BENT a tout simplement décidé de revenir à ses vieux amours qui s’avèrent bien souvent devenir des ennemis, desquels est l’art plus abstrait... Tantôt lyrique souvent très gestuel et expressif, ce retour était tout simplement pour lui la combinaison de se montrer plus cohérant avec le texte nommé ci-haut, écrit en 2010, mais paru en 2013.

Artiste pluridisciplinaire, BENT est né en 1975 dans le sud-ouest de Montréal. Autodidacte, bien qu’il ait fait des cours d’art et communication au secondaire, ses influences sont aussi élargies qu’une palette possédant 1000 couleurs à la fois. De Pollock à Basquiat, en passant par Asger Jorn, Lee Krasner, Georg Baselitz et les protaganistes du Refus Global le peintre qu’il est s’efforce tant bien que mal d’élaborer des réflexions visuelles à partir d’un désir de chambouler la vie. Depuis 2004, il a un peu plus d’une dizaine d’exposition solo à son actif. Il a aussi participer à une dizaine d’expositions collectives. Il a aussi publié 2 recueils de poésie et a entièrement illustré quelques bouquins d’autres artistes.

En 2016 eut lieu la belle finale de Creuser le quotidien à s’en arracher les yeux. Depuis, rien! Ou du moins pas grand chose, à l’exception de quelques apparitions dans les expositions Art + Anarchie Mtl. Le temps, ainsi que d’heureux événements de la vie, tel que la venue d’enfants, ont fait en sorte que la multiplication des apparitions publiques se sont tues au profit d’un murissement de l’imaginaire autant esthétique que théorique. En fait, depuis la publication du texte L’anartiste actuel... Ou l’art du suicide spectaculaire? paru dans l’ouvrage Nous sommes ingouvernables chez Lux Éditeur, BENT a tout simplement décidé de revenir à ses vieux amours qui s’avèrent bien souvent devenir des ennemis, desquels est l’art plus abstrait... Tantôt lyrique souvent très gestuel et expressif, ce retour était tout simplement pour lui la combinaison de se montrer plus cohérant avec le texte nommé ci-haut, écrit en 2010, mais paru en 2013.

Ma démarche artistique fut toujours celle de l’autodidacte qui fait ce que la vie, dans l’immédiat, lui dicte de faire. Non pas sans heurte avec les événements de l’actuatlité qui entoure mon quotidien, mon besoin de création fut plus souvent qu’autrement pressé par mon désir de prendre position sur les événements autant socio-politiques que plus personnels qui m’affectent et qui m’infligent un sentiment de réflexion et de perpétuelles intospection. Bref, encore aujourd’hui, je crée comme si demain matin nous étions aux portes de la fin d’un monde.

Ma démarche artistique fut toujours celle de l’autodidacte qui fait ce que la vie, dans l’immédiat, lui dicte de faire. Non pas sans heurte avec les événements de l’actuatlité qui entoure mon quotidien, mon besoin de création fut plus souvent qu’autrement pressé par mon désir de prendre position sur les événements autant socio-politiques que plus personnels qui m’affectent et qui m’infligent un sentiment de réflexion et de perpétuelles intospection. Bref, encore aujourd’hui, je crée comme si demain matin nous étions aux portes de la fin d’un monde.