Description
Imprimé sur panneau de PVC avec cadre d'accrochage en bois à l'arrière.
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Né d'une série d'expérimentations à même la caméra, le projet Métroposthésie (signifiant "perception de la ville"), une série de photographies à multiples expositions de plus de 250 oeuvres (en date de 2023), se veut une réévaluation du décor urbain via la juxtaposition de l'art de rue, de trouvailles spontanées, de bâtiments autant historiques que modernes et d'élements banals de la vie quotidienne - le tout dans une tentative d'établir des liens de résonnances et de mutualité entre les composantes esthétiques de la métropole, dressant ultimement un portrait d'un Montréal aussi coloré et vibrant que l'impression dont elle seule sait nous imprégner. Sur le plan esthétique, le projet cherche surtout à évaluer les limites de la transgression visuelle, concept qui s'inspire de l'entrechevêtement des arts transgressifs de la rue, où les soubresauts de la nature et des différents agents moraux se livrent une lutte pour demeurer au sommet de notre subconscient visuel. Métroposthésie remet finalement en contexte cette dynamique nature-culture en lui superposant ces objets et ces decors habituels et familiés que sont nos rues, nos parcs, nos ciels, nos arbres, nos voisins et nos maisons.
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Né d'une série d'expérimentations à même la caméra, le projet Métroposthésie (signifiant "perception de la ville"), une série de photographies à multiples expositions de plus de 250 oeuvres (en date de 2023), se veut une réévaluation du décor urbain via la juxtaposition de l'art de rue, de trouvailles spontanées, de bâtiments autant historiques que modernes et d'élements banals de la vie quotidienne - le tout dans une tentative d'établir des liens de résonnances et de mutualité entre les composantes esthétiques de la métropole, dressant ultimement un portrait d'un Montréal aussi coloré et vibrant que l'impression dont elle seule sait nous imprégner. Sur le plan esthétique, le projet cherche surtout à évaluer les limites de la transgression visuelle, concept qui s'inspire de l'entrechevêtement des arts transgressifs de la rue, où les soubresauts de la nature et des différents agents moraux se livrent une lutte pour demeurer au sommet de notre subconscient visuel. Métroposthésie remet finalement en contexte cette dynamique nature-culture en lui superposant ces objets et ces decors habituels et familiés que sont nos rues, nos parcs, nos ciels, nos arbres, nos voisins et nos maisons.
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Printed on a PVC panel with a wood frame on the back for hanging.
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Born from a series of in-camera experimentations, the Metroposthesia (meaning "perception of the city") project, now a collection of over 250 artworks (as of 2023) based on multi-exposure photography, is a reassessment of urban decor through the juxtaposition of street art, spontaneous finds, historic and modern buildings and mundane elements of everyday life - the all in an attempt to establish links of resonance and mutuality between the aesthetic components of the metropolis, ultimately painting a portrait of a Montreal as colorful and vibrant as the impression it alone knows how to impregnate us. On the aesthetic level, the project seeks above all to assess the limits of visual transgression, a concept inspired by the intertwining of transgressive street arts, where the upheavals of nature and the various moral agents engage in a struggle to remain at the top of our visual subconscious. Métroposthésie finally puts this nature-culture dynamic back into context by superimposing on it these usual and familiar objects and decors that are our streets, our parks, our skies, our trees, our neighbors and our houses.
Born from a series of in-camera experimentations, the Metroposthesia (meaning "perception of the city") project, now a collection of over 250 artworks (as of 2023) based on multi-exposure photography, is a reassessment of urban decor through the juxtaposition of street art, spontaneous finds, historic and modern buildings and mundane elements of everyday life - the all in an attempt to establish links of resonance and mutuality between the aesthetic components of the metropolis, ultimately painting a portrait of a Montreal as colorful and vibrant as the impression it alone knows how to impregnate us. On the aesthetic level, the project seeks above all to assess the limits of visual transgression, a concept inspired by the intertwining of transgressive street arts, where the upheavals of nature and the various moral agents engage in a struggle to remain at the top of our visual subconscious. Métroposthésie finally puts this nature-culture dynamic back into context by superimposing on it these usual and familiar objects and decors that are our streets, our parks, our skies, our trees, our neighbors and our houses.