[ D’où vient cette inspiration, ce vent immatériel, ou ce fluide qui nous insuffle des idées, des concepts, des solutions ? Elle n’a de lieux nulle part et partout à la fois. Ou alors, vit-elle dans le royaume de l’inconscient ? Elle va-et-vient selon son désire, et elle n’est soumise à aucune reine. C’est la matière noire de la création, l’énergie de l’intangible. ]

Patrice Dufour est un artiste-peintre dans la mi quarantaine et résidant dans la ville de Saint-Lin-des-Laurentides. Tout jeune, il s’intéresse vivement au dessin et à la peinture. Sa passion pour l’art, grandissant également avec l’âge, il tente de mimer son environnement par ses expériences artistiques multiples.

Il est vite dans les premiers de classe en art plastique, au primaire et il gagne un concours provincial en dessin. Son adresse artistique se perfectionnant davantage avec les années, il complète, en 1998 une formation en graphisme et illustration, au Collège Salette, à Montréal. Plutôt autodidacte, il parfait également son apprentissage parallèlement dans diverses expériences du dessin, de la peinture et de la sculpture, ainsi que d’autres disciplines qui animent son intérêt, à ce moment.

Patrice est à ses débuts, grandement influencé par l’artiste peintre Jim Warren. Son regard est dirigé, notamment vers la façon dont l’artiste américain traite ses sujets surréalistes et aussi pour son aptitude à harmoniser les couleurs.

Patrice Dufour se consacre aujourd’hui à temps plein dans son art depuis 2008.

Et en 2016, il est remarqué par le magazine français Art&Design, ou il parait dans l’un de leurs numéros.

Il remporte un prix grande distinction lors de l’exposition de Bruges, en Belgique.

2017 est l’amorce d’un nouveau projet ; il fusionne son style artistique avec celui de l’artiste-peintre Éric J. Hughes, d’où en résulte la collection-tandem Amalgam, exposée à la galerie Artothèque de Montréal, en octobre 2019.

[ D’où vient cette inspiration, ce vent immatériel, ou ce fluide qui nous insuffle des idées, des concepts, des solutions ? Elle n’a de lieux nulle part et partout à la fois. Ou alors, vit-elle dans le royaume de l’inconscient ? Elle va-et-vient selon son désire, et elle n’est soumise à aucune reine. C’est la matière noire de la création, l’énergie de l’intangible. ]

Patrice Dufour est un artiste-peintre dans la mi quarantaine et résidant dans la ville de Saint-Lin-des-Laurentides. Tout jeune, il s’intéresse vivement au dessin et à la peinture. Sa passion pour l’art, grandissant également avec l’âge, il tente de mimer son environnement par ses expériences artistiques multiples.

Il est vite dans les premiers de classe en art plastique, au primaire et il gagne un concours provincial en dessin. Son adresse artistique se perfectionnant davantage avec les années, il complète, en 1998 une formation en graphisme et illustration, au Collège Salette, à Montréal. Plutôt autodidacte, il parfait également son apprentissage parallèlement dans diverses expériences du dessin, de la peinture et de la sculpture, ainsi que d’autres disciplines qui animent son intérêt, à ce moment.

Patrice est à ses débuts, grandement influencé par l’artiste peintre Jim Warren. Son regard est dirigé, notamment vers la façon dont l’artiste américain traite ses sujets surréalistes et aussi pour son aptitude à harmoniser les couleurs.

Patrice Dufour se consacre aujourd’hui à temps plein dans son art depuis 2008.

Et en 2016, il est remarqué par le magazine français Art&Design, ou il parait dans l’un de leurs numéros.

Il remporte un prix grande distinction lors de l’exposition de Bruges, en Belgique.

2017 est l’amorce d’un nouveau projet ; il fusionne son style artistique avec celui de l’artiste-peintre Éric J. Hughes, d’où en résulte la collection-tandem Amalgam, exposée à la galerie Artothèque de Montréal, en octobre 2019.

[ Choisir consciemment la voie artistique, c’est pratiquer, pratiquer sans cesse son talent qui évolue constamment. Toute sa vie, et même plusieurs vies. ]

J’affectionne profondément l’emploi de divers mortiers structurants pour ainsi concevoir en dimension 3. Je travaille aussi avec de vives couleurs métallisées, fondues côte à côte pour mettre en action la lumière environnante sur l’œuvre, semblable à un acteur externe déterminant qui s’immisce dans tous ces microcosmes de textures créés.

Un vif intérêt pour la dimension et la texture fait naître en moi une démarche artistique peu commune ; une technique mixte spécialisée à l’endroit du geste intuitif avec spatule.

Le résultat est rarement déterminé d’avance, laissant place à l’amplitude maximum d’une poésie de compositions inspirées. Je crée de cette manière des mondes abstraits issus de mon subconscient.

Ce qui donne souvent des résultats saisissants de formes aléatoires évoquant des figures figées dans la matière. Tantôt on y verra des dragons ou des rois déchus. Et même des oiseaux, des fleurs ou d’autres créatures tentant de s’échapper de la conscience de l’artiste pour se cristalliser à jamais au sein de l’œuvre.

[ Choisir consciemment la voie artistique, c’est pratiquer, pratiquer sans cesse son talent qui évolue constamment. Toute sa vie, et même plusieurs vies. ]

J’affectionne profondément l’emploi de divers mortiers structurants pour ainsi concevoir en dimension 3. Je travaille aussi avec de vives couleurs métallisées, fondues côte à côte pour mettre en action la lumière environnante sur l’œuvre, semblable à un acteur externe déterminant qui s’immisce dans tous ces microcosmes de textures créés.

Un vif intérêt pour la dimension et la texture fait naître en moi une démarche artistique peu commune ; une technique mixte spécialisée à l’endroit du geste intuitif avec spatule.

Le résultat est rarement déterminé d’avance, laissant place à l’amplitude maximum d’une poésie de compositions inspirées. Je crée de cette manière des mondes abstraits issus de mon subconscient.

Ce qui donne souvent des résultats saisissants de formes aléatoires évoquant des figures figées dans la matière. Tantôt on y verra des dragons ou des rois déchus. Et même des oiseaux, des fleurs ou d’autres créatures tentant de s’échapper de la conscience de l’artiste pour se cristalliser à jamais au sein de l’œuvre.