Je suis une artiste émergente qui se déploie dans sa ville natale, Montréal. J’ai tout d’abord développé une passion pour le dessin qui m’a menée à compléter mon DEC en arts visuel au Cégep du Vieux-Montréal et je suis présentement en troisième année de BAC à l’université Concordia où mes dessins prirent une autre dimension avec l’aide du collage. Les dessins, préférablement de grands formats et fait de plusieurs médiums, intègrent aussi des cartes postales, des cartes du monde ainsi que des papier-peints fait à la main. Au travers de mes œuvres, j’explore principalement l’impact humain sur le paysage. D’ailleurs je contribue à cet impact au travers de l’art urbain. Ma plus grande œuvre réalisée est une murale de 11 pieds de haut par 60 pieds de large dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve.

Je suis une artiste émergente qui se déploie dans sa ville natale, Montréal. J’ai tout d’abord développé une passion pour le dessin qui m’a menée à compléter mon DEC en arts visuel au Cégep du Vieux-Montréal et je suis présentement en troisième année de BAC à l’université Concordia où mes dessins prirent une autre dimension avec l’aide du collage. Les dessins, préférablement de grands formats et fait de plusieurs médiums, intègrent aussi des cartes postales, des cartes du monde ainsi que des papier-peints fait à la main. Au travers de mes œuvres, j’explore principalement l’impact humain sur le paysage. D’ailleurs je contribue à cet impact au travers de l’art urbain. Ma plus grande œuvre réalisée est une murale de 11 pieds de haut par 60 pieds de large dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve.

Lorsqu’on voyage, une chose est essentielle pour explorer ; les cartes. Cet objet est pour moi une preuve de l’esprit obsessif des humains. Avare de conquérir, de répertorier, de modifier le paysage, de le déconstruire et simplifier jusqu’à une structure dont nous serons maitres. Continuellement nous nous battons contre la nature en construisant de grandes villes, en réparant sans cesse des routes, en bâtissant des frontières imaginaires, en explorant le cosmos, les fonds marins, en soustrayant les minéraux de la terre. Il existe des cartes pour tout. Les étoiles, les courants marins, la topographie, les routes, les pays, la géologie. Au travers de ses fragment de cartes de toutes sortes, de paysages, d’apparition de corps humain anonyme, je tente de faire réfléchir le spectateur sur les enjeux liés à l’envahissement du paysage par nos artifices. Qu’elles beautés de la nature cachons nous derrière un gratte-ciel ? Comment ses frontières affectent-elles notre identité ? Qu’avons-nous construit qui nous éloignent ou nous rapproche les uns des autres ? Qu’elle impact la construction d’une ile artificielle, en sable ou en bouteille plastique, a-t-elle sur son environnement ? Sans cartes, les pays, les cultures, les murs, ne sont que lignes intangibles qui ne nous empêchent plus de migrer, de communiquer, de se comprendre. Sans carte, le monde se comprend et se développe lui-même.

Lorsqu’on voyage, une chose est essentielle pour explorer ; les cartes. Cet objet est pour moi une preuve de l’esprit obsessif des humains. Avare de conquérir, de répertorier, de modifier le paysage, de le déconstruire et simplifier jusqu’à une structure dont nous serons maitres. Continuellement nous nous battons contre la nature en construisant de grandes villes, en réparant sans cesse des routes, en bâtissant des frontières imaginaires, en explorant le cosmos, les fonds marins, en soustrayant les minéraux de la terre. Il existe des cartes pour tout. Les étoiles, les courants marins, la topographie, les routes, les pays, la géologie. Au travers de ses fragment de cartes de toutes sortes, de paysages, d’apparition de corps humain anonyme, je tente de faire réfléchir le spectateur sur les enjeux liés à l’envahissement du paysage par nos artifices. Qu’elles beautés de la nature cachons nous derrière un gratte-ciel ? Comment ses frontières affectent-elles notre identité ? Qu’avons-nous construit qui nous éloignent ou nous rapproche les uns des autres ? Qu’elle impact la construction d’une ile artificielle, en sable ou en bouteille plastique, a-t-elle sur son environnement ? Sans cartes, les pays, les cultures, les murs, ne sont que lignes intangibles qui ne nous empêchent plus de migrer, de communiquer, de se comprendre. Sans carte, le monde se comprend et se développe lui-même.