L’art a toujours eu une place importante dans ma vie. Toute jeune ont me retrouvait souvent e crayon à la main, griboullant sur tout ce que je trouvais.

Je me suis initier à la peinture suite à la perte de mon père, il y a quelques années. De base, ces coups de pinceau avaient une visée thérapeutique afin de m’offrir un espace d’expression, mais j’ai rapidement eu la piqûre. Cette forme d’art me permet constament de m’évader, me laisser aller. Cette passion est loin de s’éteindre et j’apprivoise celle-ci jours après jours.

L’art a toujours eu une place importante dans ma vie. Toute jeune ont me retrouvait souvent e crayon à la main, griboullant sur tout ce que je trouvais.

Je me suis initier à la peinture suite à la perte de mon père, il y a quelques années. De base, ces coups de pinceau avaient une visée thérapeutique afin de m’offrir un espace d’expression, mais j’ai rapidement eu la piqûre. Cette forme d’art me permet constament de m’évader, me laisser aller. Cette passion est loin de s’éteindre et j’apprivoise celle-ci jours après jours.

Pression de performance, désirs, sexualité, liberté, self love programmée, résilience, reconnaissance, solitude et fragilité. Ces toiles ont de multiples raisons d’être qui ont été un moyen thérapeutique afin de m’évader et me ressourcer.

En fait, celles-ci ont toutes été créées au gré de mes ressentis et mes questionnements. Que se soit d’un besoin de défoulement ou d’un besoin de m’offrir un espace sans jugement, elles me permettaient de crier à coups de pinceaux des sentiments forts gardés en moi.

Par ailleurs, chacun de ces portraits n’a comme visée de représenter directement l’image de la femme, mais ils sont synonymes de mon identité. Je tenais à être neutre et inclusive. Ceci explique d’ailleurs l’usage des couleurs. En plus de s’ajuster à des émotions vécues qui résonnaient en moi, les couleurs évoquent mon désir de ne pas me fondre au sein de stéréotypes ou du réel.

Pression de performance, désirs, sexualité, liberté, self love programmée, résilience, reconnaissance, solitude et fragilité. Ces toiles ont de multiples raisons d’être qui ont été un moyen thérapeutique afin de m’évader et me ressourcer.

En fait, celles-ci ont toutes été créées au gré de mes ressentis et mes questionnements. Que se soit d’un besoin de défoulement ou d’un besoin de m’offrir un espace sans jugement, elles me permettaient de crier à coups de pinceaux des sentiments forts gardés en moi.

Par ailleurs, chacun de ces portraits n’a comme visée de représenter directement l’image de la femme, mais ils sont synonymes de mon identité. Je tenais à être neutre et inclusive. Ceci explique d’ailleurs l’usage des couleurs. En plus de s’ajuster à des émotions vécues qui résonnaient en moi, les couleurs évoquent mon désir de ne pas me fondre au sein de stéréotypes ou du réel.