Enfant, Ginette Berthiaume fait le chemin de chez-elle jusqu’à la Faculté de Médecine Vétérinaire, été comme hiver, afin d’assouvir sa passion des animaux. Elle y découvre tout un monde qui va forger son avenir. L’été, elle traîne un petit carnet de croquis, moutons et chevaux sont esquissés rapidement. Les étudiants vétérinaires lui permettent d’assister à des autopsies et de visiter les lieux. Elle s’y promène librement ce qui serait inadmissible aujourd’hui. Dès l’âge de 5 ans, c’était très claire : Elle serait vétérinaire. La vie en a décidé autrement.
Après des études dans le domaine médical et secrétariat, elle travaille dans le milieu médical tout en étant artiste peintre semi professionnelle et en aidant son conjoint dans son entreprise. 1989 est une année de décision puisqu’elle donne sa démission de l’hôpital à la suite de trois arrêts maladie causés par le syndrome de Ménière.
Ayant une dizaine d’années d’expérience en semi professionnelle, elle officialise son statut d’artiste peintre professionnelle et devient membre professionnelle du RAAV.
Autodidacte, elle a suivi des ateliers de modèles vivants ainsi qu’un cours de sculpture perfectionnement formation professionnelle, à la polyvalente Hyacinthe-Delorme de St-Hyacinthe.
À la suite d’une parution de la toile « Village de St-Jude » dans la biennale 1998-1999 du Magazin’Art, la galerie Beauchamp et Beauchamp de Québec l’invite à intégrer leurs galeries. Ses paysages s’envolent rapidement, cependant, dans le fond de son cœur, elle est une artiste peintre animalière et les animaux sont de plus en plus présents dans ses paysages. La galériste lui en fait une petite remontrance. Elle apporte régulièrement des photos de ses peintures d’oies qui sont refusées par la galériste puisque les animaux ne font pas fureur dans la province. Persévérante, elle reçoit une réponse positive plusieurs mois plus tard afin d’apporter une œuvre d’oies domestiques. Cette toile trouve preneur dans la journée et se sera le début d’une longue série de peintures d’oies. L’artiste pouvait, enfin, exprimer sa passion pour les animaux. Quelques événements particuliers ont souligné sa carrière. Au cours d’une exposition à la galerie Grupo Batik Art de Barcelone, monsieur Joan Palmarola, agent d’art international, l’invite en tant qu’artiste honorée, à une exposition itinérante «Rassegna Internazionale d’Arte Animalista» Italie (Turin)-Espagne (Barcelone)-Angleterre (Londres), 11/ 2002 à 01/ 2003 puis à exposer à la galerie Artitude de Barcelone ainsi qu’au XII Salon International d’ACEA à Barcelone, Espagne, 06/ 2003. En juin 2004, elle participe à une exposition « Peintres internationals » à la galerie Art’et Miss de Paris. Plusieurs autres expositions suivront avec la participation de cette galerie autant à Paris qu’en région. Puis, en décembre 2010, elle est sélectionnée pour exposer au Carrousel du Louvre. En 2014, elle reçoit un appel de la France assez particulier. La directrice de l’école primaire de Poncey-lès-Athée, l’informe qu’elle a été choisie afin que l’école primaire porte son nom : École Ginette Berthiaume. Ceci en rapport avec le surnom des habitants de la commune : Les ouillottes qui veut dire oies. Une enquête de la GRC démontra que l’artiste n’avait aucune tache à son dossier. Il a été convenu que l’inauguration aurait lieu en mai 2015. Plusieurs événements ont été organisés lors de l’occasion. Des cours de dessins aux élèves afin de produire une mosaïque supervisée par l’artiste. Une grande murale, crée par l’artiste peintre, a été peinte sur les murs de la cour d’école. Des rencontres protocolaires étaient aussi à l’agenda. Depuis, des vidéo-conférences avec les élèves ont lieu au cours de l’année scolaire. À chaque année, Ginette Berthiaume prend plaisir à écrire une carte de Noël à chaque élève. En retour, ils lui font des cartes et de magnifiques bricolages qu’elle reçoit par la poste. L’artiste s’étonne encore de ce qui lui arrive, elle dit que c’est vraiment une histoire de conte de fées.
Déjà 31 ans que Ginette Berthiaume est artiste peintre professionnelle. Que d’expositions, symposiums et événements vécus tout au long de ces années. Que de belles rencontres. Toutes ces années de créativité, de recherche, d’enseignement et d’engagements. Elle dit que c’est un métier où il faut se surpasser, se faire confiance et foncer car personne n’ira vous chercher dans votre atelier. Il ne faut pas avoir peur de l’échec et de prendre le train quand il passe. Avec l’expérience, il est primordial de garder sa liberté d’expression, de ne pas se laisser manipuler par les modes ou autres critères.

Enfant, Ginette Berthiaume fait le chemin de chez-elle jusqu’à la Faculté de Médecine Vétérinaire, été comme hiver, afin d’assouvir sa passion des animaux. Elle y découvre tout un monde qui va forger son avenir. L’été, elle traîne un petit carnet de croquis, moutons et chevaux sont esquissés rapidement. Les étudiants vétérinaires lui permettent d’assister à des autopsies et de visiter les lieux. Elle s’y promène librement ce qui serait inadmissible aujourd’hui. Dès l’âge de 5 ans, c’était très claire : Elle serait vétérinaire. La vie en a décidé autrement.
Après des études dans le domaine médical et secrétariat, elle travaille dans le milieu médical tout en étant artiste peintre semi professionnelle et en aidant son conjoint dans son entreprise. 1989 est une année de décision puisqu’elle donne sa démission de l’hôpital à la suite de trois arrêts maladie causés par le syndrome de Ménière.
Ayant une dizaine d’années d’expérience en semi professionnelle, elle officialise son statut d’artiste peintre professionnelle et devient membre professionnelle du RAAV.
Autodidacte, elle a suivi des ateliers de modèles vivants ainsi qu’un cours de sculpture perfectionnement formation professionnelle, à la polyvalente Hyacinthe-Delorme de St-Hyacinthe.
À la suite d’une parution de la toile « Village de St-Jude » dans la biennale 1998-1999 du Magazin’Art, la galerie Beauchamp et Beauchamp de Québec l’invite à intégrer leurs galeries. Ses paysages s’envolent rapidement, cependant, dans le fond de son cœur, elle est une artiste peintre animalière et les animaux sont de plus en plus présents dans ses paysages. La galériste lui en fait une petite remontrance. Elle apporte régulièrement des photos de ses peintures d’oies qui sont refusées par la galériste puisque les animaux ne font pas fureur dans la province. Persévérante, elle reçoit une réponse positive plusieurs mois plus tard afin d’apporter une œuvre d’oies domestiques. Cette toile trouve preneur dans la journée et se sera le début d’une longue série de peintures d’oies. L’artiste pouvait, enfin, exprimer sa passion pour les animaux. Quelques événements particuliers ont souligné sa carrière. Au cours d’une exposition à la galerie Grupo Batik Art de Barcelone, monsieur Joan Palmarola, agent d’art international, l’invite en tant qu’artiste honorée, à une exposition itinérante «Rassegna Internazionale d’Arte Animalista» Italie (Turin)-Espagne (Barcelone)-Angleterre (Londres), 11/ 2002 à 01/ 2003 puis à exposer à la galerie Artitude de Barcelone ainsi qu’au XII Salon International d’ACEA à Barcelone, Espagne, 06/ 2003. En juin 2004, elle participe à une exposition « Peintres internationals » à la galerie Art’et Miss de Paris. Plusieurs autres expositions suivront avec la participation de cette galerie autant à Paris qu’en région. Puis, en décembre 2010, elle est sélectionnée pour exposer au Carrousel du Louvre. En 2014, elle reçoit un appel de la France assez particulier. La directrice de l’école primaire de Poncey-lès-Athée, l’informe qu’elle a été choisie afin que l’école primaire porte son nom : École Ginette Berthiaume. Ceci en rapport avec le surnom des habitants de la commune : Les ouillottes qui veut dire oies. Une enquête de la GRC démontra que l’artiste n’avait aucune tache à son dossier. Il a été convenu que l’inauguration aurait lieu en mai 2015. Plusieurs événements ont été organisés lors de l’occasion. Des cours de dessins aux élèves afin de produire une mosaïque supervisée par l’artiste. Une grande murale, crée par l’artiste peintre, a été peinte sur les murs de la cour d’école. Des rencontres protocolaires étaient aussi à l’agenda. Depuis, des vidéo-conférences avec les élèves ont lieu au cours de l’année scolaire. À chaque année, Ginette Berthiaume prend plaisir à écrire une carte de Noël à chaque élève. En retour, ils lui font des cartes et de magnifiques bricolages qu’elle reçoit par la poste. L’artiste s’étonne encore de ce qui lui arrive, elle dit que c’est vraiment une histoire de conte de fées.
Déjà 31 ans que Ginette Berthiaume est artiste peintre professionnelle. Que d’expositions, symposiums et événements vécus tout au long de ces années. Que de belles rencontres. Toutes ces années de créativité, de recherche, d’enseignement et d’engagements. Elle dit que c’est un métier où il faut se surpasser, se faire confiance et foncer car personne n’ira vous chercher dans votre atelier. Il ne faut pas avoir peur de l’échec et de prendre le train quand il passe. Avec l’expérience, il est primordial de garder sa liberté d’expression, de ne pas se laisser manipuler par les modes ou autres critères.

Spécialisée dans l’art animalier, par mes œuvres, je transmets ma passion pour la vie animale et sa préservation.
Un de mes sujets préférés est l’oie domestique. Tout simplement parce qu’elle ressemble à l’humain, étant grégaire et bipède. J’aime l’humaniser dans son attitude et sa physionomie. Ces petites oies me permettent de passer par l’humour afin de conscientiser les gens au fait que les animaux sont des êtres vivants doués de sensibilités et d’émotions. Je préfère favoriser l’animal au détriment de la précision de son milieu. Je ne fais que suggérer ce qui permet à l’observateur d’imaginer le milieu de vie de mon sujet.
Avant de peindre un animal, je me dois de bien connaître mon sujet, ce qui permet beaucoup de liberté. Pour cette raison, je travaille sur la morphologie de l’animal, ses attitudes et comportements. L’exploration technique, associée à ces magnifiques bêtes, devient une quête qui m’anime et me stimule dans ma recherche. Tout me fascine et m’absorbe que ce soit le mouvement, la lumière, les couleurs mais aussi le non dit, le message derrière le pictural. Ce que j’envoie par l’image n’est pas nécessairement ce que l’observateur va voir. Derrière chaque peinture, il y a un moi qui parle et celui qui regarde a ses propres sentiments. J’espère, par mes œuvres, atteindre le cœur des gens et ainsi promouvoir la protection des animaux et la préservation de leur environnement.

Spécialisée dans l’art animalier, par mes œuvres, je transmets ma passion pour la vie animale et sa préservation.
Un de mes sujets préférés est l’oie domestique. Tout simplement parce qu’elle ressemble à l’humain, étant grégaire et bipède. J’aime l’humaniser dans son attitude et sa physionomie. Ces petites oies me permettent de passer par l’humour afin de conscientiser les gens au fait que les animaux sont des êtres vivants doués de sensibilités et d’émotions. Je préfère favoriser l’animal au détriment de la précision de son milieu. Je ne fais que suggérer ce qui permet à l’observateur d’imaginer le milieu de vie de mon sujet.
Avant de peindre un animal, je me dois de bien connaître mon sujet, ce qui permet beaucoup de liberté. Pour cette raison, je travaille sur la morphologie de l’animal, ses attitudes et comportements. L’exploration technique, associée à ces magnifiques bêtes, devient une quête qui m’anime et me stimule dans ma recherche. Tout me fascine et m’absorbe que ce soit le mouvement, la lumière, les couleurs mais aussi le non dit, le message derrière le pictural. Ce que j’envoie par l’image n’est pas nécessairement ce que l’observateur va voir. Derrière chaque peinture, il y a un moi qui parle et celui qui regarde a ses propres sentiments. J’espère, par mes œuvres, atteindre le cœur des gens et ainsi promouvoir la protection des animaux et la préservation de leur environnement.